11 Janvier 2022
Tout d'abord, rappelons que trois des expériences citées en page de Présentation ont été réalisées en assurant l'absence de smartphone ou autre appareil pouvant émettre des signaux BT (appli TAC, balises iBeacon).
En outre, l’activation de la fonction «traçage» sur l’appli TousAntiCovid (TAC) implique la mise en route du Bluetooth et le smartphone devient alors identifié. Il n’y a pas moyen pour l’utilisateur d’empêcher que l’étiquette nominative du smartphone ne soit diffusée.
Ainsi, si l’appli TAC était la source des codes PKM, on devrait voir s’afficher au-moins autant d’étiquettes de smartphones que de codes-mystères: ce n’est pas le cas.
Les diverses expériences citées montrent qu'une certaine proportion de personnes “injectées” sont source d'un code PKM. Elles montrent aussi que les personnes qui n'ont pas reçu d'injection n'émettent pas de code*.
Plusieurs raisons expliquent qu'une personne ayant reçu les injections ne soit pas source d'un PKM:
Ainsi, beaucoup de facteurs interviennent et il faudrait faire beaucoup plus d'expériences pour préciser l'influence de chaque facteur.
* Mis à part un cas à éclaircir d'une personne qui dit ne pas avoir reçu d'injection, mais testée avec PCR (cf. Rapport de l'expérience de Cognac-la-Forêt)
Il n'est pas possible de déterminer une proportion précise, notamment parce que la campagne d'injection continue et s'étend à de nouvelles personnes (adolescents, enfants). De plus, il n'est pas improbable que que la proportion des différentes technologies effectivement injectées évolue au fil de la campagne.
Reste que cette proportion n'est pas négligeable:
Remarques:
À titre indicatif: dans l'hypothèse où la proportion de personnes émettrices parmi les adultes injectés est de 50%, alors il y a une probabilité de 99,9% de trouver au moins 1 personne émettrice parmi 10.
Il semble possible d'en supprimer certains effets. Voir la page Pistes d'antidotes.
Non, pas nécessairement.
Par exemple, les iPhone dont le Bluetooth est activé font office de balise BLE (BLE beacon, iBeacon). Si on voit une personne passer et qu'un code apparaît, il faut savoir si elle a un iPhone sur elle avec le BT “on” avant de pouvoir conclure. Une difficulté supplémentaire est que la balise (xx:xx:xx:xx…) émet bien plus loin que l'étiquette (“iPhone de Bidulle”), donc on peut voir la balise s'afficher sans nécessairement voir l'étiquette.
Pour le moment on ne sait pas si il est possible de communiquer avec l'organisme qui apparaît comme “appareil Bluetooth”. Il est cependant notoire que la perspective du développement d'un Internet des Corps (Internet of Bodies) est évoquée depuis plusieurs années. (cf. cet article paru dans Forbes en décembre 2019:
https://lmdb.ouvaton.org/doku.php?id=projet_iob#article_de_forbes_decembre_2019)